Une cuite est vite arrivée, mais pourtant souvent, on ne la voit pas venir. On empile les verres jusqu’à que tout devienne flou. Et là, c’est trop tard, vous avez mis le doigt dans l’engrenage, la machine est lancée.
Voici les 10 étapes inévitables quand on est (trop) bourré en soirée :
1. Le « je ne pense pas boire beaucoup ce soir. »
Vous venez juste de prendre une petite gorgée ou deux, vous vous sentez classes et sophistiqués, même si vous buvez de la piquette. Vous avez l’impression d’être au top de l’élégance et de la maturité et vous kiffez votre moment. Cela semble vous suffire comme ça, ce soir, c’est « calme » comme vous le dites si bien. Crier et sauter de partout ce n’est pas votre truc, vous êtes bien au-dessus de ça.
2. Le « je me ressers un verre tu permets ? »
Ce fameux moment où tu regardes le barman et tu lui lâche un « vas-y rempli moi ça ». Bon, ça ne m’est jamais arrivé mais j’en ai souvent rêvé ! En réalité, c’est plus une soirée tranquille avec des amis, sans arrières pensées, jusqu’à que l’un dise « ton verre est vide c’est normal ? ». Vous répondez « oui ». Cette boisson est excellente, pourquoi je n’en voudrai pas un autre ? Et hop, c’est parti, vous êtes du côté obscur de la force.
3. Le « putain c’est trop bien. »
L’alcool, dans toutes ses formes, vous donne cet effet de chaleur, de plénitude, et ce, pour n’importe quelles raisons. Vous êtes juste super bien, ailleurs, et évidemment incapable de décrypter les phrases pourtant incroyablement simple de vos potes. C’est confirmé, votre état empire.
4. Le « c’est pas très clair ce que tu dis. »
Vous êtes dans le flou total, votre attitude, votre comportement et votre langage ne trompent pas. Et pourtant, vous ne démontez pas, et n’hésitez pas non plus à dire des choses hallucinantes aux yeux de vos amis du genre « mais non je ne suis pas bourré », ou encore « j’ai juste un peu la tête qui tourne mais ça va ». Vous cherchez toutes les excuses possibles pour le pas mettre la faute sur l’alcool. Ben voyons…
5. Le « bon j’avoue je suis encore fou d’elle ! »
Vous vous souvenez quand vous disiez à tout le monde que vous étiez totalement remis de la rupture avec votre ex, que vous étiez carrément passé à autre chose. Arrive maintenant la phase de la cuite ou vous vous tirez une balle dans le pied en avouant tous vos mensonges et en rétablissant la vérité. Comme par magie, d’un coup et d’un seul, vous vous croyez extra lucide. Et cela vous donne des ailes, mais pas pour longtemps…
6. Le « d’accord ok je suis mort. »
Malheureusement, la plupart du temps, cette phase arrive après l’heure des révélations ! A ce moment-là, vous avez un peu plus de recul (a peine) sur votre comportement et avant de partir dans de grandes théories fumeuses, vous prenez de dire : « je préfère prévenir, je ne contrôle absolument rien de ce que je dis. » C’est un commentaire plus que classique en soirée mais qui pose quand même le décor pour l’idiotie que vous allez sortir après.
7. Le « perso j’ai un petit coup de barre. »
Quelqu’un vient de s’allonger sur le canapé juste devant vos yeux, et vous, vous luttez pour garder vos yeux ouverts. Il n’en fallait pas plus pour réaliser qu’en fait vous êtes épuisé ! Vous commencez alors à réfléchir à un endroit où dormir. Tout en vous disant que vous n’avez pas le droit à l’erreur puisque le peu de forces qui vous reste ne vous permettront pas d’aller dans plusieurs endroits pour voir lequel est le plus confortable.
8. Le « tu m’as parlé ? »
Pendant votre lutte acharnée pour que votre tête ne tombe pas dans le paquet de chips qui vous fait face, vous avez raté la blague hilarante de votre pote. Vous luttez tellement que vous vous demandez même s’ils ont parlé. Vous vous lancez et dites « je dois rigoler ? ». Mais en général, il est déjà trop tard. A 4h du mat’, les sujet de conversation changent pas mal en 30 secondes.
9. Le « aller j’ai besoin d’un autre verre. »
Ceci est d’un non-sens absolu. Vous décidez de vous reboire la substance qui vous a mis dans cet état. Comme si d’un coup, ça allait vous faire redescendre sur Terre. En général, on regrette très vite ce choix.
10. La gueule de bois.
Voici les 10 étapes inévitables quand on est (trop) bourré en soirée :
1. Le « je ne pense pas boire beaucoup ce soir. »
Vous venez juste de prendre une petite gorgée ou deux, vous vous sentez classes et sophistiqués, même si vous buvez de la piquette. Vous avez l’impression d’être au top de l’élégance et de la maturité et vous kiffez votre moment. Cela semble vous suffire comme ça, ce soir, c’est « calme » comme vous le dites si bien. Crier et sauter de partout ce n’est pas votre truc, vous êtes bien au-dessus de ça.
2. Le « je me ressers un verre tu permets ? »
Ce fameux moment où tu regardes le barman et tu lui lâche un « vas-y rempli moi ça ». Bon, ça ne m’est jamais arrivé mais j’en ai souvent rêvé ! En réalité, c’est plus une soirée tranquille avec des amis, sans arrières pensées, jusqu’à que l’un dise « ton verre est vide c’est normal ? ». Vous répondez « oui ». Cette boisson est excellente, pourquoi je n’en voudrai pas un autre ? Et hop, c’est parti, vous êtes du côté obscur de la force.
3. Le « putain c’est trop bien. »
L’alcool, dans toutes ses formes, vous donne cet effet de chaleur, de plénitude, et ce, pour n’importe quelles raisons. Vous êtes juste super bien, ailleurs, et évidemment incapable de décrypter les phrases pourtant incroyablement simple de vos potes. C’est confirmé, votre état empire.
4. Le « c’est pas très clair ce que tu dis. »
Vous êtes dans le flou total, votre attitude, votre comportement et votre langage ne trompent pas. Et pourtant, vous ne démontez pas, et n’hésitez pas non plus à dire des choses hallucinantes aux yeux de vos amis du genre « mais non je ne suis pas bourré », ou encore « j’ai juste un peu la tête qui tourne mais ça va ». Vous cherchez toutes les excuses possibles pour le pas mettre la faute sur l’alcool. Ben voyons…
5. Le « bon j’avoue je suis encore fou d’elle ! »
Vous vous souvenez quand vous disiez à tout le monde que vous étiez totalement remis de la rupture avec votre ex, que vous étiez carrément passé à autre chose. Arrive maintenant la phase de la cuite ou vous vous tirez une balle dans le pied en avouant tous vos mensonges et en rétablissant la vérité. Comme par magie, d’un coup et d’un seul, vous vous croyez extra lucide. Et cela vous donne des ailes, mais pas pour longtemps…
6. Le « d’accord ok je suis mort. »
Malheureusement, la plupart du temps, cette phase arrive après l’heure des révélations ! A ce moment-là, vous avez un peu plus de recul (a peine) sur votre comportement et avant de partir dans de grandes théories fumeuses, vous prenez de dire : « je préfère prévenir, je ne contrôle absolument rien de ce que je dis. » C’est un commentaire plus que classique en soirée mais qui pose quand même le décor pour l’idiotie que vous allez sortir après.
7. Le « perso j’ai un petit coup de barre. »
Quelqu’un vient de s’allonger sur le canapé juste devant vos yeux, et vous, vous luttez pour garder vos yeux ouverts. Il n’en fallait pas plus pour réaliser qu’en fait vous êtes épuisé ! Vous commencez alors à réfléchir à un endroit où dormir. Tout en vous disant que vous n’avez pas le droit à l’erreur puisque le peu de forces qui vous reste ne vous permettront pas d’aller dans plusieurs endroits pour voir lequel est le plus confortable.
8. Le « tu m’as parlé ? »
Pendant votre lutte acharnée pour que votre tête ne tombe pas dans le paquet de chips qui vous fait face, vous avez raté la blague hilarante de votre pote. Vous luttez tellement que vous vous demandez même s’ils ont parlé. Vous vous lancez et dites « je dois rigoler ? ». Mais en général, il est déjà trop tard. A 4h du mat’, les sujet de conversation changent pas mal en 30 secondes.
9. Le « aller j’ai besoin d’un autre verre. »
Ceci est d’un non-sens absolu. Vous décidez de vous reboire la substance qui vous a mis dans cet état. Comme si d’un coup, ça allait vous faire redescendre sur Terre. En général, on regrette très vite ce choix.
10. La gueule de bois.
Peu de temps après la phase 9, vous vous effondrez puis vous vous endormez comme un bébé et au petit matin vous serez de nouveau remis et frais. Par remis et frais, j’entends que vous allez souffrir comme si un éléphant utilisait votre tête en guise de coussin. Il ne vous reste plus qu’à manger un énorme saladier de pâtes, boire l’équivalent de votre poids en eau et ça devrait aller.
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